Sur le sol noir, envahit par la poussière

Se dessinent les forces obscures,

Les autres maîtresses entremetteuses

De tant pour sang de caresses ,

De plaisirs, et de douceurs

 

Le cheval blanc habile de la déesse ,

Les yeux en or, et la selle tressée

Par les cieux , balaye de sa crinière

Les soupirs et les cris de ceux

Qui bannis, souffrent dans les braises…

 

Le souffle de l’ombre établi,

Les brisés décimés comme

Ces fines gouttes de pluie s’ écrient :

« Où dans l’Ecriture le pinceau

Des Puissants se devrait-il de nous poursuivre ?! »