Sur la terre ferme

La ferme fume ,

La terre ferme feint

Qu’ ces lattes la fait fuir,

Se tait six pieds sous terre,

Fouettée sous les ruines des furets,

Des Forêts, des forains

Qui trop souvent fêtent

Le fait simple de fustiger…

 

Le plomb nous plume,

Nous nous plaignons ;

Des plaies peignées,

Des pets plaisants,

Des pets des puissants…

Certains sentent forts,

D’autres sortent des forts,

D’autres encore font l’effort

De n’ pas sombrer dans le confort…

D’autres cons font fort !

Tombent, nous lâchent ces porcs,

Peut-être ignorent qu’ chaque

Politique nous tue tort,

Qu’ chaque mort nous quitte.

Tôt, les morveux que l’on sait quitte,

Quitte à c’ qu’ leur sort

Les sortent d’ici,

Autant  qu’ l’ essor des leurres

Leur porte bonheur,

Qu’ le bon, le meilleur,

Des bonbons leur soit offert

Qu’ l e fer et l’or,

Fervents serveurs du seigneur Faux,

Forts de touts leurs Torts

Puissent enfin …s’anéantir