Paradis d’un terrien sans frontière ,

Développé mon ki et croire au lendemain.

Tristesse du cœur

D’un être accompli

Tristesse d’un amour…

Dis tchô !

Besoin de couleurs vives

Sur des linges de paille,

De langues à l’air rouillé

Dans la boue,

Pour un soupir, pour un rêve…

Courbes douces et longues

bas dessous les mains

Douées d’un songe…

L’être,

L’esprit et le corps, unis,

Dans une vision lente

Et  substantielle.

Petits points plongés, encore…

Debout !