Les froides colombes

Effraient le sang

De ceux qui tombent

La blancheur des tombes

Macabres, vire au sable,

Sabre la couleur de la lumière,

Instable

Constamment s’effacent,

Les heures lasses qui se brisent grâces,

Et le brise glace dirige la messe,

La masse est entassée, et sache qu’

A la fin de l’envoi, elle touche …

Vois,

Qu’ voici la fin des temps,

Ils étaient tant…

A tenter d’établir leur régence,

A planter leurs tentes sans songer

Qu’en d’ssous ça pousse !

Qu’ sans sous les gens de d’ssus,

Soit eux, n’en puissent espérer mieux,

Que l’esquisse, d’un monde sans issues,

Ils liquident l’essence même

De ce monde à leur insu…

Et la sciure s’amasse…