C’est pour toi ô grande âme que je prends
la plume,
Pour te dire ma tristesse et mon amertume,
Mes mots sont ailés pour aller jusqu’à
toi.
Ô toi, esprit subtil emporté par le vent,
Le vent violent et fou qui souffle
brusquement,
Eteignant la flamme brûlant au fond de toi .
Toi qui respectais tout, et plus encore la
vie ,
Tu haïssais une chose, celle qui t’a pris :
La violence, ami, a eu raison de toi .
Ne t’en fais pas ,
vois tu, jamais on oubliera
Tous les moments divins qu’on passe avec
toi,
Ô Thomas, mon ami, on ne t’oubliera pas…
Amandine